Le meilleur service de chauffeur pour votre visite de Venise

Dans la région de la Vénétie, dans les eaux de la mer Adriatique, Venise est l’un des endroits les plus romantiques et évocateurs du monde, un trésor inestimable.

Au cœur de cette province légendaire est la République Sérénissime de Venise ou, avec ses magnifiques ponts qui dépassent ses canaux navigables par télécabines, utilisés pour se déplacer à travers ses monuments, ses places, ses rues étroites et ses eaux tranquilles. Venise est en fait un groupe de charmantes petites îles, où l’art et l’histoire se mêlent à l’artisanat ancien et à la beauté de la mer.

Les plages de sable baignées par la mer Adriatique caractérisent les principales stations qui offrent aux vacanciers tout le confort. L’arrière-pays fascinant est composé de nombreux sentiers qui traversent le paysage verdoyant, avec des rivières paisibles qui traversent de petits villages riches en histoire et de fabuleuses villas.

C’est une zone pleine de saveurs exquises de ses plats typiques et une « carte des vins » renommée. Il y a aussi de nombreuses possibilités de divertissement: sports de plein air, vie nocturne dans les nombreuses boîtes de nuit de charme et faire du shopping dans les boutiques d’artisanat typiques pour acheter des souvenirs.

Typique est le carnaval, où les citoyens portent des masques anciens et des costumes d’époque précieux.

La biondina in gondoleta

Partivo una mattina co’i’ vapore
La Biondina in gondoleta
L’altra sera gh’ho menà:
Dal piaser la povareta,
La s’ha in bota indormenzà.

La dormiva su sto brazzo,
Mi ogni tanto la svegiava,
Ma la barca che ninava
La tornava a indormenzar.

G’era in cielo mezza sconta
Fra le nuvole la luna,
G’era in calma la laguna,
G’era il vento bonazzà.

Una solo bavesela
Sventolava i so’ caveli,
E faceva che dai veli
Sconto el sen non fusse più.

Contemplando fisso fisso
Le fatezze del mio ben,
Quel viseto cussi slisso,
Quela boca e quel bel sen;

Me sentiva drento in petto
Una smania, un missiamento,
Una spezie de contento
Che no so come spiegar!

So’ sta’ un pezzo respettando,
Quel bel sonno ho sopportà,
Benché amor di quando in quando,
Ei m’avesse assai tentà

M’ho provà buttarme zoso
Là con ella pian pianino;
Ma col foco da vicino
Non potevo riposar.
M’ho stufà po’ finalmente,
De ‘sto tanto so’ dormir,
E gh’ho fato da insolente,
No m’ho avuto da pentir;

Perchè, oh Dio, che bele cosse
Che gh’ho dito, e che gh’ho fato!
No, mai più tanto beato
Ai mii zorni no son sta.